Ahmad Raouf Basharidoust; une des victimes du massacre 1988, arrêté à l'âge de 16 ans, a été éxécuté après plus de 5 années de prison

مجاهد قهرمان، احمد رئوف بشري‌دوست پس از بيش از 5سال اسارت در زندانهاي خميني دژخيم در جريان قتل عام زندانيان سياسي مجاهد در سال 1367 به شهادت رسيد.

lundi 8 février 2021

« Héros et héroïnes, en mémoire d’amis tombés » de Pouran Najafi

 


 Par Massoumeh Raouf

Parfois, dans la vie, vous rencontrez quelqu'un que vous ne pouvez jamais oublier. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup d'amis sur lesquels on puisse compter dans les situations les plus difficiles. Un ami dont les kilomètres de distance géographique et les années passées ne nuisent pas à son amour et à sa pureté amicale, et chaque fois que vous le voyez, vous ressentez la même chaleur et l'honnêteté des premiers jours. Pouran Najafi était un tel ami pour moi. une amitié avec la clarté de l'eau des sources de notre région du nord.  Pouran Najafi est morte le 9 février 2013, abattue par une pluie de roquettes commandées par le régime iranien sur la prison de Liberty, en Irak.

dimanche 24 janvier 2021

IRAN: INTERNATIONAL ACTION NEEDED TO BREAK AUTHORITIES’ CYCLE OF PROTEST BLOODSHED


 Amnesty – On the third anniversary of the nationwide protests of December 2017 and January 2018, Amnesty International renews its calls for justice for the dozens of protesters, including children, who were killed by Iran’s security forces across the country, and their bereaved families. The organization also stands in solidarity with those seeking truth and accountability for the thousands of protesters who were arbitrarily detained, those who suffered torture or other ill-treatment in detention, those who died in custody in suspicious circumstances and those who were subsequently sentenced to death or executed following grossly unfair trials.

https://www.amnesty.org/download/Documents/MDE1335462021ENGLISH.PDF


samedi 16 janvier 2021

Un procès historique en Suède - Rapport de la commission judiciaire du CNRI

 Le bureau du procureur suédois, sous la supervision du bureau du procureur albanais, a interrogé les témoins du massacre de 1988 et les familles des victimes à Achraf-3, en Albanie, pendant dix jours à partir du 7 novembre 2020. Cette démarche fait suit
e à la déclaration de la commission de sécurité et du contreterrorisme du CNRI (15 novembre 2009 sur l’affaire du bourreau Hamid Nouri arrêté en Suède). Elle fait également suite au rapport de la commission judiciaire du 3 juillet 2020 sur le témoignage et la fourniture de documents à ce sujet. Elle intervient aussi après les mesures nationales et internationales mentionnées dans ce rapport.
 

 

dimanche 10 janvier 2021

محاكمه حميد نوري دژخيم قتل عام ۶۷ در سوئد ـ شهادت محمود رويايي

 

 محمود رويايي كه از سال ۱۳۶۰ تا ۱۳۷۰ در زندان هاي اوين، قزل حصار و گوهر دشت بوده در گواهي خود گفت:

·       « دادگاه من کمتر از ده دقیقه بدون وکیل و تشریفات قانونی توسط یک آخوند عصبانی برگزار شد. او کیفرخواست را خواند اما همین که خواستم دفاع کنم گفت حرف نزن، آیا حاضر به مصاحبه تلویزیونی هستی یا نه؟ گفتم من کاری نکردم و چیزی هم برای گفتن ندارم. وقتی دید مصاحبه نمی‌کنم من را از اتاق بیرون انداخت و گفت حکمت اعدام است. بعد از دوندگيها و هزينه هاي كلاني كه پدرم كرد، سه ماه بعد به من ده سال زندان ابلاغ كردند».

·       «مرا در آذر ۱۳۶۰ از اوين به قزلحصار منتقل كردند. در بدو ورود موی سر و ابرویم را تراشیدند و با زدن و تهديد وادارم كردند آنها را بخورم. بعد همراه با ۴۵نفر دیگر در یک سلول یک و نیم متر در دو و نیم متر جا دادند».

·     

samedi 9 janvier 2021

محاكمه حميد نوري دژخيم قتل عام ۶۷ در سوئد ـ شهادت اصغر مهديزاده

 

دادستانی سوئد ، تحت نظارت دادستانی آلبانی ، از 7 نوامبر سال 2020 ، به مدت ده روز در مورد جلاد حمید نوری ، با شاهدان قتل عام سال 1988 و خانواده های قربانیان در اشرف -3 ، آلبانی مصاحبه کرد.

اصغر مهديزاده زنداني سياسي در فاصله سالهاي ۱۳۶۰ تا ۱۳۷۳ گواهي داد براي اولين بار حميد نوري را در سال ۶۵ در زندان گوهر دشت ديده است. او گفت:

·       «در آن زمان من درخواست داده بودم كه به زندان رشت منتقل شوم، حميد نوري به من گفت تا زمانی که همکاری نکنی انتقال خبری نیست چون شما اتهامتان را هواداری از سازمان ذكر ميكنيد و سرموضع هستید».

·      
«دوبار بخاطر ورزش جمعی ما را به اتاق موسوم به گاز بردند که هیچ روزنه ای نداشت که بعد از یکی دو ساعت بخاطر عرق زیاد زیرپای ما خیس شده و آب جمع ميشد که با اعتراض و فریاد و درزدن مستمر در را بازکردند. در اين هنگام تونلی از دژخيمان درست ميكردند که ناصریان و عباسی و لشکری در ابتدایش بودند و اتهام ما را مي پرسيدند. همين كه ميگفتيم هوادار مجاهدين، با مشت و کابل و چوب ما را ميزدند و به پاسداران و دژخيمان بعدي پاس مي‌دادند. هم چنين به خاطر ورزش جمعی در فروردین ۶۶ دوازده نفر از مجاهدين را برای تجدید محاكمه به اوین بردند و به ما حکم شلاق وکابل دادند که در گوهردشت توسط ناصریان و لشکری و عباسی و شكنجه‌گران ديگر اجرا شد».

·     

vendredi 8 janvier 2021

Un procès historique en Suède - témoignage de Mahmoud Royaei

 


Mahmoud Royaei, incarcéré dans les prisons d’Evine, de Ghezel-Hessar et de Gohardacht de 1981 à 1991, a déclaré dans son témoignage sur le bourreau Hamid Nouri :

« Mon procès a été mené par un religieux en colère en moins de dix minutes, sans avocat ni formalités légales. Il a lu l’acte d’accusation, mais dès que j’ai voulu me défendre, il m’a dit de ne pas parler. « « es-tu prêt à passer une interview télévisée ou non ? » J’ai répondu que je n’avais rien fait et que je n’avais rien à dire. Quand il a vu que je n’acceptais pas l’interview, il m’a jeté dehors et a dit que ma peine serait l’exécution. Après les efforts inlassables de mon père avec des dépenses considérables, trois mois plus tard, j’ai été condamné à dix ans de prison.

J’ai été transféré d’Evine à Ghezel-Hessar en décembre 1981. À l’arrivée, ils m’ont rasé les cheveux et les sourcils et m’ont forcé à manger mes cheveux tout en me battant et en me menaçant. Ensuite, ils m’ont mis dans une cellule de 1,5 x 2,5 mètres, avec 45 autres personnes.

jeudi 7 janvier 2021

Un procès historique en Suède - témoignage d'Asghar Mehdizadeh


Le bureau du procureur suédois, sous la supervision du bureau du procureur albanais, a interrogé les témoins du massacre de 1988 et les familles des victimes à Achraf-3, en Albanie, pendant dix jours à partir du 7 novembre 2020 sur le bourreau Hamid Nouri.

Asghar Mehdizadeh, prisonnier politique de 1981 à 1994, a témoigné avoir vu Hamid Nouri pour la première fois à la prison de Gohardacht en 1986. Il a déclaré :

« À l’époque, j’avais demandé à être transféré à la prison de Racht. Hamid Nouri m’a dit : il n’y aura pas de transfert tant que tu ne coopéreras pas, parce qu’en ce moment tu admets être un partisan de l’organisation (OMPI) et tu insistes sur cette appartenance.

Un procès historique en Suède - Hamid Nouri, bourreau du massacre de 1988 en Iran, face à la justice.


 Il s’appelle Hamid Nouri. Il a été arrêté lors d’un voyage en Suède, sur dénonciation d’un proche qui venait de faire le lien avec son passé de tortionnaire et de bourreau. Depuis les témoins se pressent au parquet suédois pour porter plainte et réclamer justice. En leur nom et celui des milliers d’hommes et de femmes qu’il a suppliciés et envoyés à la mort. Par groupes entiers.

mardi 29 décembre 2020

Le Royaume-Uni exhorte le régime iranien à autoriser l’ONU à enquêter sur le massacre de 1988

 


Le 23 décembre, le Royaume-Uni a exhorté le régime iranien à autoriser le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme en Iran à mener une enquête indépendante sur le massacre de 1988 des prisonniers politiques iraniens.

Le 14 décembre, Lord Alton de Liverpool a demandé au gouvernement britannique « quelle évaluation avez-vous faite de la lettre envoyée par les Rapporteurs spéciaux des Nations Unies sur les droits de l’homme au gouvernement iranien le 3 septembre au sujet des exécutions massives extrajudiciaires présumées de dissidents politiques en 1988 en Iran ».

Un procès historique irait commencer en Suède.

 


Hamid Nouri (Abbassi), un des célèbres bourreaux des prisons iranien, surtout au cours des années 1980s, s’est fait arrêter lors d’un voyage en Suède en novembre 2019. Ses collègues l’avaient même déconseillé sur le voyage, vu les risques impliqués. Mais il ne les a pas pris au sérieux.

Pendant l’été de 1988, plus de 30 000 prisonniers politiques furent exécutés dans les prisons iraniennes. La vaste majorité était constituée de partisans et de sympathisants de l’Organisation des Modjahedines du peuple d’Iran (OMPI) mais on put aussi dénombrer d’autres victimes tels que des partisans de groupes de gauche.
Saisissant l’opportunité de débarrasser l’Iran de milliers de prisonniers politiques, dont beaucoup étaient en prison depuis 1981, Khomeini, le guide suprême à l’époque, émit une fatwa pour permettre à ses géôliers de mener le massacre. Parmi ces derniers, se trouvait Hamid Nouri (Abbassi).

dimanche 27 décembre 2020

interview de Radio ESPÉRANCE FÉMININE avec Massoumeh Raouf

Radio ESPÉRANCE FÉMININE DU 12/12/2020 par Carole Galloy 


Pour la 8e émission d’Espérance féminine, l’auteur de la BD « Un petit prince du pays des Mollahs », Massoumeh Raouf Basharidoust est en studio. Un ouvrage dans lequel elle redonne vie à son frère Ahmad, tué lors des massacres de 1988.

Écoutez l'interview en cliquant sur ce lien

 https://frequenceprotestante.com/diffusion/esperance-feminine-du-12-12-2020/

samedi 26 décembre 2020

Crime Against Humanity: Un nouveau livre sur le massacre des Moudjahidine du peuple par le régime iranien

 











Un nouveau livre intitulé “Le crime contre l’humanité” publié par l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK), répertoriant les noms de plus de 5 000 personnes sur les 30 000 prisonniers politiques exécutés en Iran lors du massacre de 1988 pour la plupart membres ou sympathisant de l’organisation iranienne des Moudjahidine du peuple (l’OMPI).

Le livre détaille également les conclusions de 35 commissions enquêtant sur les atrocités et répertorie les emplacements de trois douzaines de fosses communes en Iran. 

vendredi 25 décembre 2020

Official Un Experts Describe the 1988 Massacre as a "Crime Against Humanity"


Maryam Rajavi: The great day of justice for the Iranian people will arrive. Mullahs, IRGC, and intelligence agents cannot escape their fate

Compatriots,

After 32 years, official experts of the United Nations have described the 1988 massacre of political prisoners in Iran as a "crime against humanity."

The experts have called for a comprehensive and independent investigation. This is the outcome of the blood of martyrs and a great victory for the MEK, the Iranian Resistance and the Iranian people on their path to seeking justice.

samedi 12 décembre 2020

Héros et héroïnes, en mémoire d'amis tombés

 Par Massoumeh Raouf

Le livre de ma chère amie Pouran Najafi qui a été assassinée par le régime criminel iranien, a été publié par un éditeur canadien, Editions Dedicaces. C'était une amie commune à moi et mon frère Ahmad. Elle était avec Ahmad au même lycée et elle était avec moi quand j'étais en prison. Elle a joué un rôle clé dans mon évasion, et si je suis libre aujourd'hui, c'est grâce à son sacrifice.

vendredi 11 décembre 2020

عفو بین الملل: نامه سازمان ملل به ایران درباره اعدام های ۶۷ یک نقطه عطف است

سازمان عفو بین‌الملل با صدور بیانیه‌ای نامه ‌ای را که کارشناسان سازمان ملل متحد به دولت ایران در ارتباط با اعدام‌های سال ۶۷  فرستاده یک نقطه عطف برای دستیابی به حقیقت و عدالت دانست.

سازمان عفو بین‌الملل روز چهارشنبه ۱۹ آذر (۹ دسامبر) نامه‌ کارشناسان سازمان ملل متحد در سپتامبر سال گذشته به دولت ایران در ارتباط با اعدام‌های سال ۶۷ را نقطه عطفی برای دستیابی به عدالت و حقیقت در این عرصه توصیف کرد.

گروه ‌های مدافع حقوق بشر از جمله سازمان عفو بین‌الملل و کارشناسان سازمان ملل بارها از جمهوری اسلامی ایران در مورد اعدام های غیرقانونی هزاران نفر در سال ۶۷ توضیح خواسته‌اند. این اعدام‌ها پس از پایان گرفتن جنگ ایران و عراق انجام گرفت.

اعدام‌شدگان عمدتاً طرفداران سازمان مجاهدین خلق ایران و سایر گروه‌های چپ و  مخالف جمهوری اسلامی ایران بودند.

عفو بین‌الملل ایران را به پنهان کاری "سیستماتیک" درباره شرایط مربوط به این اعدام‌ها و محل نگهداری اجساد متهم می‌کند.

Iran. L’appel de l’ONU à rendre des comptes pour les massacres des prisons de 1988, une étape décisive après trois décennies de luttes

 


9 décembre 2020,  

Un groupe d’expert.es des Nations unies spécialisés dans les droits humains a adressé une communication au gouvernement iranien pour le mettre en garde, soulignant que les violations passées et actuelles liées aux massacres commis dans les prisons en 1988 étaient susceptibles de constituer des crimes contre l’humanité, et qu’ils demanderaient une enquête internationale si ces violations perduraient, un appel pressant à rendre des comptes qu’Amnesty international a salué ce mercredi 9 décembre, veille de la Journée internationale des droits de l’homme.

« Cette communication des expert.es des Nations unies est une avancée capitale. Il s’agit une étape décisive pour le combat de longue date que mènent les familles de victimes et les survivant.es, avec le soutien d’organisations iraniennes de défense des droits humains et d’Amnesty International, pour mettre un point final à ces crimes et obtenir vérité, justice et réparation », a déclaré Diana Eltahawy, directrice adjointe d’Amnesty International pour la région Afrique du Nord et Moyen-Orient.

« Les éminents spécialistes en droits humains des Nations unies font désormais passer un message sans équivoque et attendu de longue date : les crimes persistants que sont les disparitions forcées massives résultant des exécutions extrajudiciaires secrètes de 1988 ne peuvent plus être passés sous silence et rester impunis », a ajouté Diana Eltahawy.

Iran: UN calls for accountability on 1988 prison massacres marks turning point in three-decade struggle

 

9 December 2020

A group of UN human rights experts have written to the Iranian government warning that past and ongoing violations related to prison massacres in 1988 may amount to crimes against humanity and that they will call for an international investigation if these violations persist, a push for accountability welcomed by Amnesty international on the eve of International Human Rights Day.

“The UN experts’ communication is a momentous breakthrough. It marks a turning point in the long-standing struggles of victims’ families and survivors, supported by Iranian human rights organizations and Amnesty International, to end these crimes and obtain truth, justice and reparation,” said Diana Eltahawy, Amnesty International’s Deputy Director for the Middle East and North Africa.

“Top UN human rights experts have now sent an unequivocal, and long overdue, message: the ongoing crimes of mass enforced disappearances resulting from the secret extrajudicial executions of 1988 can no longer go unaddressed and unpunished”, said Diana Eltahawy.

mardi 22 septembre 2020

Die deutsche Fassung des Buches Ein kleiner Prinz im Land der Mullahs ist erschienen.


 Ein Kleiner Prinz im Land der Mullahs: Die wahre Geschichte eines jungen Iraners, der dem Mullah-Regime die Stirn bot.


von Massoumeh Raouf Basharidoust (Autor), Summer Harman (Illustrator), Linda Chavez (Vorwort)

Die wahre Geschichte eines Teenagers, der sich dem Regime der Mullahs im Iran widersetzte, erzählt in Bildern und mit den Worten seiner überlebenden Schwester. Ahmad, der Held dieser Geschichte, wurde 1988 im Alter von 24 Jahren während seiner Gefangenschaft ermordet, aber seine Mörder besetzen noch heute Schlüsselpositionen der Macht im Iran.

Die Geschichte Ein kleiner Prinz im Land der Mullahs zeigt dem Leser die menschliche Tragödie von Millionen von Iranern. Mit Ahmad erleben wir diese Tragödie und können verstehen, warum etwas geschehen und was getan werden muss, damit die Gerechtigkeit siegt und das iranische Volk seine Freiheit erlangt.



lundi 24 juin 2019

A Little Prince in the Land of the Mullahs: The True Story of a Teenager Who Stood up to the Mullahs’ Regime in Iran




The true story of a teenager who stood up to the mullahs’ regime in Iran, recalled in the words of his surviving sister and told through drawn pictures. Ahmad, the hero of this story, was killed in 1988 at the age of 24, while in captivity but the perpetrators of the murder remain in key positions of power in Iran.
The story of A Little Prince in the Land of the Mullahs reveals to the reader the human tragedy facing millions of Iranians. With Ahmad, we can go through this tragedy, live it and try to understand why, and most importantly what can be done so that justice can be served, and freedom can be acheived by the Iranian people.


“A Little Prince in the Land of the Mullahs revives the little hero in the reader by telling the story of a brave young man who wants nothing more than to live the life that all boys and girls want: to be free, happy, and secure in his homeland. Like tens of thousands of others, the little prince suffers. He faces arrest, torture, and ultimately sacrifices his life.”
— Linda Chavez, Former White House director of public liaison


“The story of A Little Prince in the Land of the Mullahs reveals to us, without any pretenses, the human tragedy facing millions of Iranians. With Ahmad, we can go through this tragedy, live it and try to understand why, so that the truth can no longer be hidden, so that justice can be done, and so that the liberation so long awaited by the Iranian people can happen.”
— Ingrid Betancourt, Colombian-French former Senator held hostage for 6 years


The book is on sale at the following addresses:




jeudi 9 mai 2019

Iran: A Little Prince in the Land of the Mullahs


Ahmad Raouf Bacharidoust was born on 23 August 1964 in Astara, a small town on the Caspian Sea. Living conditions were ideal in the region, with its rolling green hills. With his older sister Massoumeh and his family, Ahmad had every reason to feel happy. And yet…

There would be many surprises in the life of Ahmad Raouf Bacharidoust, nicknamed the “little prince” by his families, first his natural family, then that of his brothers-in-arms and companions in prison. The young man soon understood that he would have to fight in order to survive. And yet he had the good fortune to be born into a close-knit family. The young man in a hurry could not stand injustice. His freshness, his youth, his unconcern, and his insolence made him a prominent figure in the fight against the mullahs. A Little Prince in the Land of the Mullahs tells his story. The story of one young man among so many others who, risking his life, driven by a deep sense of purpose, would fight to his last breath against all tyrannies.

samedi 13 avril 2019

La désignation des gardiens de la révolution comme terroriste est une bonne nouvelle pour les Iraniens.


Les Etats-Unis ont placé lundi 8 avr. 2019  les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique du régime iranien, sur leur liste noire des "organisations terroristes étrangères".
Pour les Iraniens, le nom du Corps des gardiens de la révolution (CGRI / Pasdaran), l’armée idéologique de Khomeiny équivaut à celui de la Gestapo, étant l’organe de torture et d’assassinat du régime intégriste des mollahs.
Après la chute du chah, dès son arrivée au pouvoir, Khomeiny fonde son armée spéciale et idéologique, dont la première tâche est de réprimer et de tuer les opposants politiques en Iran. La seconde est d'exporter la soi-disant révolution islamique du clergé réactionnaire à l’étranger pour réaliser le rêve d’un nouveau califat.
Pour ma génération qui a participé à la révolution contre le chah pour un Iran libre et démocratique, les gardiens de la révolution sont une expérience amère et sanglante que nous avons payée très cher par des emprisonnements, des tortures et la perte de parents. 
Tous les interrogateurs, tortionnaires, gardiens de prison étaient sans exception des Pasdaran. Ces fous de pouvoir, exécutants des fatwas criminelles de Khomeiny ne connaissaient aucune limite dans la sauvagerie.
J’ai  raconté  histoire   de  mon petit frère, victime de sauvagerie des gardiens de la révolution (CGRI / Pasdaran) dans un   livre  BD intitulée "un petit prince au pays des mollahs". 

mercredi 21 novembre 2018

un petit prince au pays des mollahs

Histoire vraie d’un jeune Iranien, opposant du régime des mollahs en Iran .





                        sur www.societedesecrivains.com
et
   Dans toutes les bonnes librairies !

Pour commander cet ouvrage :
Chez la Société des Écrivains Par carte bancaire 
 ou téléphone : +33(0)1 84 74 10 08 
– Fax : +33(0)1 41 684 594 
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samedi 1 septembre 2018

نمايشگاه يادبود شهيدان قتل عام 67


پاريس – شهرداري منطقة 2 – نمايشگاه يادبود شهيدان قتل عام 67 با حضور منتخبان مردم فرانسه شخصيتهاي سياسي و مدافعان حقوق بشر


فراخوان سخنرانان به تشکیل کمیتة تحقیق بین‌المللی
و محاكمه سران رژيم به خاطر نسل كشي و جنايت عليه بشريت
نمايشگاه يادبود قتل عام 30 هزار زنداني سياسي در سال 67  روزهای چهارشنبه و پنجشنبه هشتم ونهم شهریور 1396 در شهرداري منطقه 2 پاريس،  برگزارشد. در این برنامه شماري از شهرداران فرانسوي، و شخصيتهاي سياسي و همچنين گروههايي از شهروندان فرانسوي از قسمتهاي مختلف اين  نمايشگاه بازديد و دفتر يادبود شهيدان قتل عام 67 را امضاء كردند.

vendredi 17 août 2018

به ياد مادر مجاهدم فاطمه صيقلي


نويسنده: معصومه رئوف
 بعد از تو دلم در اين قفس مي‌گيرد
 وز بغض فراق تو دلم مي‌ميرد
 خوش بود زمانه چون تو با ما بودي   
 افسوس زمانه داده پس مي‌گيرد.

  اين شعر بر سنگمزار مادر مجاهدم فاطمه صيقلي نقش بسته است. شعري كه ميگويند در آخرين ساعات عمرش زمزمه ميكرد  و من و احمد را صدا مي زد. مادر در 43سالگي هنگامي چشم از جهان فرو بست كه جگرگوشه اش  احمد در   سياهچال گوهردشت اسير جلادان بود.

jeudi 16 août 2018

IRAN - THE LITTLE PRINCE IN MULLAHS’ LAND


SOON AVAILABLE IN BOOKSHOPS

MY STORY HAS A MESSAGE THAT WILL VERY LIKELY INSPIRE THE “HERO” IN YOU

THE TRUE STORY OF A YOUNG IRANIAN WHO STOOD UP AGAINST THE MULLAHS’ REGIME AND PAID A HIGH PRICE FOR HIS BRAVERY IN THE 1988 MASSACRE IN IRAN

samedi 11 août 2018

Iran : 30 ans déjà que le crime fut commis


3o ans déjà de ce chapitre crucial de l'histoire iranienne et du régime actuel à l'heure de son déclin et de sa chute certaine. C’est un anniversaire triste pour des milliers familles endeuillé comme moi.
Ce massacre commença à la fin du mois de juillet 1988 coïncidant avec la fin de la guerre Irak-Iran. 30.000 prisonniers politiques furent sauvagement assassinés dans les différentes régions de l'Iran, dont mon frère cadet Ahmad Raouf-Basharidoust. La plupart étaient membres ou sympathisants de l'Organisation Moudjahidines du Peuple d'Iran, le principal mouvement d’opposition contre la dictature islamiste. Mon petit frère Ahmad n’avait que 16 ans, quand il a été arrêté chez nous dans un raid des gardiens de la révolution.
Il a fallu d'un décret religieux (fatwa) du Guide suprême l'ayatollah Khomeiny pour que la tuerie commence. « Tuez tous ceux qui sont en guerre contre Dieu et ennemis de l'Islam », avait-il écrit. Mon frère Ahmad a été pendu comme les 30.000 prisonniers politiques exécutés sur ordre de Khomeiny dans ce massacre. Des années plus tard en 1991, les agents du renseignement ont dit à mon père qu’ils l’avaient exécuté dans la prison d’Oroumieh, dans le nord-ouest de l’Iran, mais ils n’ont pas dit où il était enterré.
Ainsi toutes les régions de l'Iran devinrent un cimetière pour ces jeunes militants jetés dans des fosses communes, celles qu'à l'heure présente, avec des pelleteuses, le régime essaye d'effacer toute trace en broyant leurs os pour construire des routes comme symbole d'un faux progrès.
L'actuel président de l'Iran, le mollah Hassan Rohani, lui aussi fut un complice. Car en 1988 il occupait la fonction de vice-commandant de l'armée du régime, de ce fait, au courant de ce crime et de surcroît l'approuvant. Ceci montre qu’Hassan Rohani n'a rien d'un président modéré. La preuve évidente c'est qu'il a placé ses compères de la « commission de la mort » comme ministres dans des postes clés de son gouvernement. Cette « commission de la mort » a obéi aux ordres venus du Guide suprême, tout en sachant qu’ils étaient des ordres injustes, iniques et meurtriers.
Sans doute ces opposants furent choisis parce qu'ils incarnaient aux yeux des bourreaux une certaine idée de liberté et d'égalité et que dans leur délire sanguinaire ces ennemis des droits humains voulaient supprimer les témoins de cet air de liberté.
Jusqu'à maintenant une conspiration du silence s'est emparé de l'humanité pour nous rappeler que le mal absolu sommeille toujours dans le cœur de certains ou pour que leur passivité de jadis, dans d'autres lieux pour d'autres crimes, reste encore réveillé.
Comment s'effectuât-il cette prise de conscience pour éclairer la nature profonde du régime théocratique iranien et sa haine pour la liberté ? Pour que ce cri soit entendu il a fallu qu'un ayatollah excédé par la portée des crimes du régime auquel il appartenait, décide de laisser un message accablant, dont son fils a osé le sortir à la lumière.
Quoi faire donc des criminels ? Continuer à dénoncer où attendre que les instances internationales décident d'agir ?
La fin du régime semble proche, ils seront certainement jugés par le peuple iranien secondés par des juges internationaux. Mais ils devront rendre compte comme les nazis à Nuremberg.
 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/iran-30-ans-deja-que-le-crime-fut-206720

mercredi 1 août 2018

Le petit prince au pays des mollahs


Découvrez la  sortie de cette BD . Elle sera disponible très prochainement.

Histoire vrais d’un jeun iranien opposant du régime des mollahs en Iran qui a été exécuter durant le “massacres de 1988 en Iran”