Ahmad Raouf Basharidoust; une des victimes du massacre 1988, arrêté à l'âge de 16 ans, a été éxécuté après plus de 5 années de prison

مجاهد قهرمان، احمد رئوف بشري‌دوست پس از بيش از 5سال اسارت در زندانهاي خميني دژخيم در جريان قتل عام زندانيان سياسي مجاهد در سال 1367 به شهادت رسيد.

mardi 29 décembre 2020

Le Royaume-Uni exhorte le régime iranien à autoriser l’ONU à enquêter sur le massacre de 1988

 


Le 23 décembre, le Royaume-Uni a exhorté le régime iranien à autoriser le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme en Iran à mener une enquête indépendante sur le massacre de 1988 des prisonniers politiques iraniens.

Le 14 décembre, Lord Alton de Liverpool a demandé au gouvernement britannique « quelle évaluation avez-vous faite de la lettre envoyée par les Rapporteurs spéciaux des Nations Unies sur les droits de l’homme au gouvernement iranien le 3 septembre au sujet des exécutions massives extrajudiciaires présumées de dissidents politiques en 1988 en Iran ».

Un procès historique irait commencer en Suède.

 


Hamid Nouri (Abbassi), un des célèbres bourreaux des prisons iranien, surtout au cours des années 1980s, s’est fait arrêter lors d’un voyage en Suède en novembre 2019. Ses collègues l’avaient même déconseillé sur le voyage, vu les risques impliqués. Mais il ne les a pas pris au sérieux.

Pendant l’été de 1988, plus de 30 000 prisonniers politiques furent exécutés dans les prisons iraniennes. La vaste majorité était constituée de partisans et de sympathisants de l’Organisation des Modjahedines du peuple d’Iran (OMPI) mais on put aussi dénombrer d’autres victimes tels que des partisans de groupes de gauche.
Saisissant l’opportunité de débarrasser l’Iran de milliers de prisonniers politiques, dont beaucoup étaient en prison depuis 1981, Khomeini, le guide suprême à l’époque, émit une fatwa pour permettre à ses géôliers de mener le massacre. Parmi ces derniers, se trouvait Hamid Nouri (Abbassi).

dimanche 27 décembre 2020

interview de Radio ESPÉRANCE FÉMININE avec Massoumeh Raouf

Radio ESPÉRANCE FÉMININE DU 12/12/2020 par Carole Galloy 


Pour la 8e émission d’Espérance féminine, l’auteur de la BD « Un petit prince du pays des Mollahs », Massoumeh Raouf Basharidoust est en studio. Un ouvrage dans lequel elle redonne vie à son frère Ahmad, tué lors des massacres de 1988.

Écoutez l'interview en cliquant sur ce lien

 https://frequenceprotestante.com/diffusion/esperance-feminine-du-12-12-2020/

samedi 26 décembre 2020

Crime Against Humanity: Un nouveau livre sur le massacre des Moudjahidine du peuple par le régime iranien

 











Un nouveau livre intitulé “Le crime contre l’humanité” publié par l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK), répertoriant les noms de plus de 5 000 personnes sur les 30 000 prisonniers politiques exécutés en Iran lors du massacre de 1988 pour la plupart membres ou sympathisant de l’organisation iranienne des Moudjahidine du peuple (l’OMPI).

Le livre détaille également les conclusions de 35 commissions enquêtant sur les atrocités et répertorie les emplacements de trois douzaines de fosses communes en Iran. 

vendredi 25 décembre 2020

Official Un Experts Describe the 1988 Massacre as a "Crime Against Humanity"


Maryam Rajavi: The great day of justice for the Iranian people will arrive. Mullahs, IRGC, and intelligence agents cannot escape their fate

Compatriots,

After 32 years, official experts of the United Nations have described the 1988 massacre of political prisoners in Iran as a "crime against humanity."

The experts have called for a comprehensive and independent investigation. This is the outcome of the blood of martyrs and a great victory for the MEK, the Iranian Resistance and the Iranian people on their path to seeking justice.

samedi 12 décembre 2020

Héros et héroïnes, en mémoire d'amis tombés

 Par Massoumeh Raouf

Le livre de ma chère amie Pouran Najafi qui a été assassinée par le régime criminel iranien, a été publié par un éditeur canadien, Editions Dedicaces. C'était une amie commune à moi et mon frère Ahmad. Elle était avec Ahmad au même lycée et elle était avec moi quand j'étais en prison. Elle a joué un rôle clé dans mon évasion, et si je suis libre aujourd'hui, c'est grâce à son sacrifice.

vendredi 11 décembre 2020

عفو بین الملل: نامه سازمان ملل به ایران درباره اعدام های ۶۷ یک نقطه عطف است

سازمان عفو بین‌الملل با صدور بیانیه‌ای نامه ‌ای را که کارشناسان سازمان ملل متحد به دولت ایران در ارتباط با اعدام‌های سال ۶۷  فرستاده یک نقطه عطف برای دستیابی به حقیقت و عدالت دانست.

سازمان عفو بین‌الملل روز چهارشنبه ۱۹ آذر (۹ دسامبر) نامه‌ کارشناسان سازمان ملل متحد در سپتامبر سال گذشته به دولت ایران در ارتباط با اعدام‌های سال ۶۷ را نقطه عطفی برای دستیابی به عدالت و حقیقت در این عرصه توصیف کرد.

گروه ‌های مدافع حقوق بشر از جمله سازمان عفو بین‌الملل و کارشناسان سازمان ملل بارها از جمهوری اسلامی ایران در مورد اعدام های غیرقانونی هزاران نفر در سال ۶۷ توضیح خواسته‌اند. این اعدام‌ها پس از پایان گرفتن جنگ ایران و عراق انجام گرفت.

اعدام‌شدگان عمدتاً طرفداران سازمان مجاهدین خلق ایران و سایر گروه‌های چپ و  مخالف جمهوری اسلامی ایران بودند.

عفو بین‌الملل ایران را به پنهان کاری "سیستماتیک" درباره شرایط مربوط به این اعدام‌ها و محل نگهداری اجساد متهم می‌کند.

Iran. L’appel de l’ONU à rendre des comptes pour les massacres des prisons de 1988, une étape décisive après trois décennies de luttes

 


9 décembre 2020,  

Un groupe d’expert.es des Nations unies spécialisés dans les droits humains a adressé une communication au gouvernement iranien pour le mettre en garde, soulignant que les violations passées et actuelles liées aux massacres commis dans les prisons en 1988 étaient susceptibles de constituer des crimes contre l’humanité, et qu’ils demanderaient une enquête internationale si ces violations perduraient, un appel pressant à rendre des comptes qu’Amnesty international a salué ce mercredi 9 décembre, veille de la Journée internationale des droits de l’homme.

« Cette communication des expert.es des Nations unies est une avancée capitale. Il s’agit une étape décisive pour le combat de longue date que mènent les familles de victimes et les survivant.es, avec le soutien d’organisations iraniennes de défense des droits humains et d’Amnesty International, pour mettre un point final à ces crimes et obtenir vérité, justice et réparation », a déclaré Diana Eltahawy, directrice adjointe d’Amnesty International pour la région Afrique du Nord et Moyen-Orient.

« Les éminents spécialistes en droits humains des Nations unies font désormais passer un message sans équivoque et attendu de longue date : les crimes persistants que sont les disparitions forcées massives résultant des exécutions extrajudiciaires secrètes de 1988 ne peuvent plus être passés sous silence et rester impunis », a ajouté Diana Eltahawy.

Iran: UN calls for accountability on 1988 prison massacres marks turning point in three-decade struggle

 

9 December 2020

A group of UN human rights experts have written to the Iranian government warning that past and ongoing violations related to prison massacres in 1988 may amount to crimes against humanity and that they will call for an international investigation if these violations persist, a push for accountability welcomed by Amnesty international on the eve of International Human Rights Day.

“The UN experts’ communication is a momentous breakthrough. It marks a turning point in the long-standing struggles of victims’ families and survivors, supported by Iranian human rights organizations and Amnesty International, to end these crimes and obtain truth, justice and reparation,” said Diana Eltahawy, Amnesty International’s Deputy Director for the Middle East and North Africa.

“Top UN human rights experts have now sent an unequivocal, and long overdue, message: the ongoing crimes of mass enforced disappearances resulting from the secret extrajudicial executions of 1988 can no longer go unaddressed and unpunished”, said Diana Eltahawy.