Massacre de 1988 : 30 000 femmes et hommes
Lors du « massacre de 1988 », le régime des mollahs a tué 30 000 femmes et hommes en Iran. Il les avait emprisonnés à l’époque pour des motifs politiques. Les experts juridiques ont qualifié le massacre de crime contre l’humanité et de génocide. Selon Amnesty International, la majorité des victimes étaient des membres de l’importante opposition démocratique, les Moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI / MEK).
Raïssi a perpétré des crimes et des meurtres encore plus terribles contre des citoyens innocents. En dépit de cela, le régime iranien et le président iranien Raïssi se nourrissent d’un sentiment d’impunité internationale. Selon Amnesty International, le régime s’emploie activement à démanteler les fosses communes des victimes du massacre. L’objectif poursuivi est d’effacer toute trace de criminalité.
Les crimes contre l’humanité du régime
Des centaines de dirigeants de la communauté iranienne ont rejoint les victimes des crimes contre l’humanité du régime à Washington, D.C., jeudi, après la conférence du G20. Les États-Unis ont été encouragés à mener une politique audacieuse contre le régime génocidaire de Téhéran lors de ce remarquable rassemblement organisé par l’OIAC.
L’ancien vice-président Mike Pence était l’un des principaux orateurs. Il a qualifié le président iranien Raïssi de « meurtrier de masse brutal responsable en 1988 du massacre de 30 000 prisonniers politiques. Sa sélection comme président a pour but d’étouffer la dissidence interne et à intimider le peuple d’Iran pour qu’il reste silencieux. »
Maryam Radjavi est leader de l’opposition et présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI). Elle a exprimé la même demande lors du sommet de jeudi. Le Guide suprême a établi Raïssi à la présidence pour étouffer toute forme de résistance, a-t-elle ajouté. En effet, une multitude de crises existentielles enveloppe la dictature. Cependant, les changements sont inévitables en Iran. Une série de soulèvements à l’échelle nationale a clairement prouvé cela.
Notamment, Mme Radjavi a ajouté : « Le peuple iranien est prêt pour le renversement du régime plus qu’à tout autre moment. Il est temps que la communauté internationale se range du côté du peuple iranien et de son désir de changement. »
Il existe une alternative à la démocratie incarnée par une femme extraordinaire
Le point de vue de Mme Radjavi a été souligné par le vice-président Pence : « Il existe une alternative, bien organisée, entièrement préparée, parfaitement qualifiée et soutenue par le peuple, appelée le MEK. … Le MEK est engagé dans la démocratie, les droits de l’homme et la liberté pour chaque citoyen d’Iran. De surcroît, une femme extraordinaire le dirige. Mme Radjavi est une inspiration pour le monde entier ».
La Suède a arrêté Hamid Noury, un agent du régime, alors qu’il était en visite dans ce pays. Il est actuellement jugé pour son rôle dans le « massacre de 1988 ». Des survivants et des familles de victimes témoignent actuellement contre lui. Avec cette arrestation, les premières mesures de la communauté internationale sont prises dès maintenant. Elle illustre la notion juridique de « compétence universelle » pour les crimes internationaux les plus terribles. D’ailleurs, maintenant que sa viabilité a été prouvée, elle doit être utilisée contre les auteurs de haut rang du massacre, y compris l’actuel président iranien, Ebrahim Raïssi.
Source : Stop au Fondamentalisme
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